Un roman grave et optimiste qui, selon R. Martel, dénonce le mépris dont nous entourons aujourd'hui nos vieillards. C'est bien dans la logique de notre société de consommation de les considérer comme des "producteurs taris". Par Menaud interposé, Carrier "tend la main à Louis Hémon pour témoigner de la paradoxale vitalité d'un peuple dépossédé mais qu'on croirait inapte au désespoir". Pour Renald Bérubé, il s'agit d'un roman de l'enracinement, de la continuité, du recours nécessaire à la mémoire.
Un roman grave et optimiste qui, selon R. Martel, dénonce le mépris dont nous entourons aujourd'hui nos vieillards. C'est bien dans la logique de notre société de consommation de les considérer comme des "producteurs taris". Par Menaud interposé, Carrier "tend la main à Louis Hémon pour témoigner de la paradoxale vitalité d'un peuple dépossédé mais qu'on croirait inapte au désespoir". Pour Renald Bérubé, il s'agit d'un roman de l'enracinement, de la continuité, du recours nécessaire à la mémoire.