De 1845 à 1852, la Grande famine irlandaise coûte la vie à plus d'un million d'Irlandais et provoque une énorme vague d'émigration. Les Irlandais s'entassent dans des « bateaux-cercueils » où les conditions sont inhumaines et insalubres. Ceux qui survivent à la traversée de l'Atlantique vers le Canada, qui peut durer jusqu'à neuf semaines, doivent d'abord être placés en quarantaine à Grosse-Île, une île du fleuve Saint-Laurent. Le nombre de malades est tel que les installations médicales de l'île ne suffisent pas. Aujourd'hui, sur l'île, un mémorial rend hommage aux milliers de personnes qui sont mortes en fuyant la pauvreté et la faim.
De 1845 à 1852, la Grande famine irlandaise coûte la vie à plus d'un million d'Irlandais et provoque une énorme vague d'émigration. Les Irlandais s'entassent dans des « bateaux-cercueils » où les conditions sont inhumaines et insalubres. Ceux qui survivent à la traversée de l'Atlantique vers le Canada, qui peut durer jusqu'à neuf semaines, doivent d'abord être placés en quarantaine à Grosse-Île, une île du fleuve Saint-Laurent. Le nombre de malades est tel que les installations médicales de l'île ne suffisent pas. Aujourd'hui, sur l'île, un mémorial rend hommage aux milliers de personnes qui sont mortes en fuyant la pauvreté et la faim.
