Lac Saint-Jean, 1907. Adèle Paradis, 16 ans, est fascinée par le train de vie luxueux des clients du Château Roberval, célèbre hôtel où elle a décroché un boulot de blanchisseuse pour la période estivale. Cette dernière tire à sa fin et la jeune fille se prépare à retourner à son morne quotidien lorsqu'une certaine Madame Dubois lui offre de l'accompagner à Québec à titre de ménagère et de gouvernante de son dernier-né. Saisissant cette chance inespérée, la jeune fille s'élance avec bonheur vers sa nouvelle vie. Si la densité de la population, la hauteur des bâtiments et les canons qui ornent les fortifications lui font regretter les grands espaces, les odeurs du marché Montcalm, le son des cloches dominicales, la beauté des paysages offerts par la terrasse Dufferin et les vitrines des magasins suscitent quant à eux son enthousiasme. Adèle s'habitue non seulement à son existence de citadine, mais se découvre une vocation pour la confection de vêtements lorsque sa maîtresse fait l'acquisition d'une merveille technologique de l'époque: la machine à coudre. Le spectacle pour le tricentenaire de la fondation de Québec qui se prépare offre d'ailleurs une occasion en or à la jeune femme de faire valoir son talent inné pour marier tissus et couleurs, lui ouvrant les portes d'une grande carrière...
Lac Saint-Jean, 1907. Adèle Paradis, 16 ans, est fascinée par le train de vie luxueux des clients du Château Roberval, célèbre hôtel où elle a décroché un boulot de blanchisseuse pour la période estivale. Cette dernière tire à sa fin et la jeune fille se prépare à retourner à son morne quotidien lorsqu'une certaine Madame Dubois lui offre de l'accompagner à Québec à titre de ménagère et de gouvernante de son dernier-né. Saisissant cette chance inespérée, la jeune fille s'élance avec bonheur vers sa nouvelle vie. Si la densité de la population, la hauteur des bâtiments et les canons qui ornent les fortifications lui font regretter les grands espaces, les odeurs du marché Montcalm, le son des cloches dominicales, la beauté des paysages offerts par la terrasse Dufferin et les vitrines des magasins suscitent quant à eux son enthousiasme. Adèle s'habitue non seulement à son existence de citadine, mais se découvre une vocation pour la confection de vêtements lorsque sa maîtresse fait l'acquisition d'une merveille technologique de l'époque: la machine à coudre. Le spectacle pour le tricentenaire de la fondation de Québec qui se prépare offre d'ailleurs une occasion en or à la jeune femme de faire valoir son talent inné pour marier tissus et couleurs, lui ouvrant les portes d'une grande carrière...
